Bonjour à toutes ! (tous ?)
Ravie de constater qu'après tout ce temps vous êtes encore là. Pour un peu, j'avouerais (oui, bon, allez, j'avoue) que vous m'avez manqué. De là à dire que je vais renouer avec ce blog, il n'y a qu'un pas...
Ce qui m'embarrasse dans ce chantier de maison, en fait, c'est la perspective de devoir quitter à plus ou moins long terme notre home sweet home de Saint-Quentin. Non que j'aie changé d'avis en ce qui concerne cette ville et cette région, hein, la Picardie et tout ce qui est au nord de Paris, ce n'est définitivement pas ma tasse de thé. Mais enfin son chez-soi, on le décore... on l'aménage... on s'y investit... on s'y crée des souvenirs... tout ça, tout ça. Et puis il y a les copines, les connaissances qu'il va falloir laisser (dit-elle, même pas fichue d'organiser avec ses copines du scrap le repas prévu depuis des mois !)(mais c'est une autre histoire).
L'histoire d'aujourd'hui, c'est le Barrou, donc. Barrou comme Barrou ou "petite colline" en occitan, le lieu-dit du bled improbable où se situe cette maison (ne cherchez pas, c'est pas sur les cartes) (c'est, disons, entre Bergerac et Périgueux, tendance vers Bergerac, au milieu des bois et des prés - aucune vigne à l'horizon).
Le bâtiment étant resté inoccupé durant 2 ans, la végétation a eu le temps de proliférer. La première chose à faire, pour l'entreprise dépêchée sur les lieux, était donc de débroussailler tout ça. Ce qui fut fait à l'automne dernier.
Ca change tout, non ? La façade semble même avoir été sablée, alors que pas du tout. Et ça permet de savoir où on va !
La toiture a également été révisée, ce qui explique l'ambiance extérieure assez "fin de la guerre 14". Démoussage en règle, remplacement de certaines tuiles cassées et pose de chatières (qu'on voit à peine, ce sont juste les petites ondulations dans le toit).
A bientôt pour la suite ;-)
FLORENCE